Poème 189 | Copyright de l'auteur | |
Sonnet pour
un espoir |
es nuits étaient semées des ces mille folies Où l’esprit et le corps se donnaient libre cours Pour jouer à mon âme l’unique symphonie Des souvenirs, des couleurs claires et des sons sourds. Dernier désir de guerre, premier souhait de paix Sourire de dernière heure et luxuriant désert Orage de printemps, tempête de l’été Clarté des froides nuits et ciels blancs de l’hiver |
Premiers baisers du cœur, pur azur de
l’automne, Toi qui s’est dessinée au fil de mes chansons, Toi qui vient de croiser ma route monotone Premier plaisir de l’âme, veux tu prendre mon nom ? Tendresse d’une enfant, douceur d’un soir d’été, Cette idée de mes rêves la voilà incarnée. 11 Mai 1967 |
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