Poème 280 | Copyright de l'auteur | |
Pour la
dixième fois |
our la dixième fois, Je ne sais plus, Tu venais refermer mon lit Sur nos vies en ébauche. En retirant tes bas, Mes mains tremblaient encore J’avais la fièvre De voir ta robe disparaître Et céder cette chambre A ta peau blanche déjà chaude. |
Le cœur battait une chamade, Sans raison, Pendant que j’arrangeais la pièce Pour y déposer tes parures. Il me fallut du temps Pour que tu ne sois plus Une première fois. 19 Mars 1971 |
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