Poème 464 | Copyright de l'auteur | |
Reconnus |
u me manques Patiemment Longuement Brusquement Dans une suite interrompue De continuelles venues de ton visage. Mes mains Doucement Sans mouvement Sauvagement Arrachent ton corps Que tu vacilles en mirage réel. |
La nuit Aveuglément Parfumé Bouillonnant Ton corps est dénudé, reposé Pour que nos joies s’isolent mieux. Reconnus par l’amour Qui nous a fait quitter le jour Une nuit de l’hiver Cette année le printemps sera riche 10 Avril 1971 |
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