Poème 482
Copyright de l'auteur
Par hasard

P


ar hasard tu passais là
Où j'étais

Quand ton amour s'effondrait
Quant ton amie se taisait

Moi qui te veux
Comme ce soir de Mai
Moi qui t’aimerais
Toujours
Pour quelques heures
De ta vie
A la même seconde
Heureux d'être avec toi
J'ai reçu tes pleurs
Et la blessure
De toute la distance
Qui t’éloigne de moi

A la même seconde
Où tu te blottissais
Entre mes bras.

12 Août 1986




accueil sommaire
précédent suivant