Poème 558 | Copyright de l'auteur | |
Litanies |
es jours, Heure après heure, Ont enroulé le temps. Pendant des mois entiers, Pas à pas, J’ai arpenté l’horloge des saisons Et compté les années Des lunes pâles Qui ne souriaient pas Des soleils éclatants Qui me brûlaient les mains, Des nuits tristes et trop longues |
Mais toujours la lueur, L’intacte clarté de ton regard De tes yeux Qui m’ont fait naître Et m’empêchent de mourir. 1998 |
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