Poème 92
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Portrait

T


on corps te brûle
Tu vois la nuit le jour.

Idées fausses.

L'absurdité presque toujours,
Pétrifiée de poussières
Héritées d'autres siècles.

Un monde sans poids
Qui t’écrase quand même.
Mais tu me fais l'amour
Comme une fête
Quand tu veux faire l'amour.

Et le reste du temps
Tu me traînes
D'enfer en paradis.

18 Août 1983




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