Poème 185 | Copyright de l'auteur | |
Splendid |
our la première fois Le temps n’était pas là. Il avait pris vacances Pour nous laisser à deux, L’un contre l’autre, sans jour. Le lit qui nous servait d’alcôve Nous abritait pour une seule fois. Demain nous serions loin, Heureux d’avoir quitté la vie L’un près de l’autre Réveillés d’un soupir Que nos muscles disaient En étirant plus loin la nuit. |
La vie me nous pointillait plus de ses
périodes noires Pendant lesquelles tu t’évanouissais. 22 Février 1971 |
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