Poème 200
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Voyage

P


our une certitude
Que tu ne voyais pas
Pour une habitude attendue
Que tu ne voulais pas
Pour une vie à deux
Que tu n’imaginais
Qu’autour du grand feu
De notre liberté.

Tu as rêvé un beau matin.
Tu t’envolais très loin
Des réalités de la terre
Vers les mirages de l’enfer
Et les orages monotones
Qui frissonnent des amours incertaines

Puis tu es revenue un matin
Adulte
Et tu m’as pris la main.

7 Mars 1971




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