Poème 407 | Copyright de l'auteur | |
Le coeur au
bord de l'âme |
uand la fumée bleue Lentement se dissipe Dans les draps soyeux Du dernier soir noir Et que le jour paraît J’ai le cœur au bord de l’âme Et l’âme qui s’égare Aux ombres grises inconnues. Quand la douceur fade D’une mémoire pâle Et la chaleur froide Du dernier soir noir S’en vont avec le jour |
J’ai le cœur au bord de l’âme Et l’âme qui s’égare Aux ombres grises inconnues. Quand le long ennui Fiévreusement s’en vient Prendre mon regard Au dernier soir noir Pour attendre le jour J’ai le cœur au bord de l’âme Et l’âme qui s’égare Aux ombres grises inconnues. 9 Août 1973 |
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